L’article fait suite à l’audition parlementaire des représentants de la Société (italienne) pour les études sur le Moyen-Orient (SeSaMO) auprès de la Commission d’enquête sur la mort de Giulio Regeni, qui a eu lieu en avril 2020. Après un examen critique des discours dominants sur la recherche menée par Giulio Regeni et sur les responsabilités de la directrice de thèse, l’autrice précise les procédures appliquées par les universités italiennes dans le cas de missions à l’étranger et le degré d’autonomie dont les doctorants bénéficient.