Lors de ma conférence d’introduction à une rencontre européenne pour soutenir Fariba Adelkhah, privée de liberté depuis plus de 800 jours par le régime iranien, et son combat pour la liberté de la recherche académique, j’ai analysé les contraintes que j’ai eues à expérimenter dans mes recherches de terrain. Rétrospectivement, un thème central pour moi a été le glissement facile de la censure vers l’autocensure.