Cet article part d’une observation banale : aux côtés des pratiques et des discours qui visent à organiser la ville comme un ensemble cohérent et à y créer du lien social, les gens, parfois, la fuient, la méprisent, s’en détachent, s’en déprennent et ne font pas corps avec elle. Je tente de comprendre la signification politique de ces arts de ne pas faire la ville contemporaine.